Côté ouest la cour d’honneur est précédée par un mail de tilleuls.
Sur la façade intérieure du château face à une large terrasse couverte de dalles de pierre, le jardin à la française, planté de buis sur un schéma rectangulaire, donne sur un miroir d’eau.
Dans la prairie au sud, se dresse un colombier de plan carré, pouvant accueillir jusqu’ à 200 couples de pigeons, ce qui permet d’estimer la superficie du domaine à environ une centaine d’hectares .
Au nord, vastes et imposantes, les dépendances, auxquelles on accède par un portail XVII°, attestent de l’activité agricole importante, notamment viticole du château avant la crise du phylloxéra.
Elles abritent un monumental pressoir d’une typologie singulière qui, de par son fonctionnement, s’apparente à la fois aux pressoirs à levier et aux pressoirs à point. Sa datation est incertaine, mais on peut, par analogie avec d’autres pressoirs bourguignons, situer sa construction au XVIII° siècle.